dimanche 10 septembre 2023

Séisme au Maroc...


... le prix du sachet de beuh va devenir prohibitif... 

8 commentaires:

  1. On dit que ça pousse bien dans le Bas-Vivarais ?

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    1. Cépafo...
      Mais de là à devenir exportateur...

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    2. On dit ça, on dit ça...
      Au fait, la pluie tant attendue depuis plus de trois mois au point de laisser Belle rentrer seule à Paris, elle arrive ?
      C'est bon pour les plants de tomate, et il en faut de l'eau, même pour des variétés hâtives et rustiques .

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    3. La pluie c'est l'Arlésienne ici...

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  2. Quelque jour, et si ça vous intéresse, je pourrais vous raconter ce tremblement de terre avorté à Rabat en 1964.

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  3. En préambule, il faut se souvenir qu'un tremblement de terre meurtrier avait sévi à Agadir en 1960.
    En 1964 j'étais au Maroc où mon époux était sensé effectuer son service militaire en tant que médecin au titre de la coopération, au sein des FAR (Forces Armées Royales), mais d'où il avait été muté en Algérie, quelques mois plus tôt, me laissant à Rabat avec mes deux enfants (7 ans et un an) en attendant sa démobilisation.
    Ce soir-là j'étais au cinéma avec des amis. On donnait 8 1/2 le film de Fellini.
    Tout à coup, en plein milieu de la représentation, un bruit assourdissant nous donna l'impression qu'un train lancé à toute vitesse entrait dans le cinéma. Et si je me souviens bien, on a aussi eu l'étrange sensation que quelqu'un essayait de nous retirer le fauteuil de sous les fesses.
    Immédiatement tout le monde s'est levé et s'est précipité, dans le plus grand désordre et bousculade vers la sortie. Ce que voyant, et mesurant le danger, je décidai de ne pas bouger, et mes amis et moi nous nous sommes rassis. Au bout d'un certain temps, sans doute constatant la présence de quelques spectateurs, l'opérateur a repris la projection et nous avons pu voir le film jusqu'au bout.
    C'est parfaitement calmes que nous sommes sortis du cinéma alors qu'un spectacle d'apocalypse nous attendait sur l'avenue Mohammed V.
    Une foule de gens courait dans tous les sens, les voitures s'entre choquaient à tous les coins de rue sans s'arrêter et nous avons même croisé la femme d'un collègue médecin errant en chemise de nuit dans la foule.
    Rentrée chez moi, Khadija m'attendait sagement à le fenêtre et les enfants dormaient tranquillement.
    Fin de l'histoire !

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    1. Une belle secousse sans conséquence donc ?
      J'en ai connues à la Martinique mais sur un mode mineur...

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Lâchez-vous ! Mais en gens bien élevés tout de même...