mardi 28 mars 2023

Acquis sociaux


Des zacquis sociaux on ne vous en donnera plus...

Non pass'que pour vous les reprendre c'est vraiment trop compliqué... 

jeudi 23 mars 2023

Paris insurrectionnel

 


Je ne sais pas s'il s'agit de la der des der, mais de toutes les manifestations auxquelles j'ai participé ce fut de loin la plus violente.

Je l'ai rejointe en son milieu de parcours par la ligne 4. La station "Strasbourg - Saint-Denis" étant fermée, je suis descendu à "Réaumur-Sébastopol". Puis j'ai rejoins la rue "Saint-Denis" par la gauche si tu vois. Jadis c'était un haut lieu du tapinage, mais ça a bien changé. J'en ai quand-même compté une demi-douzaine, plus très jeunes, dans le coin de la rue Blondel. Elles étaient là juste pour dire, comme ça, perpétuant sans trop y croire un vieux savoir-faire local. 

Au moment même où j'atteignais la porte Saint-Martin, la tête de la manifestation arrivait, précédée d'une flopée de CRS. J'étais synchrone. Le cortège officiel lui, avançait très lentement, ralenti dans sa progression par un nombre très significatif de perturbateurs qui cassaient ou brulaient tout ce qui leur tombait sous la main, comme ce pas de porte en marbre dont les débris allaient servir plus tard de projectiles. 



 Ce quartier est un véritable labyrinthe de ruelles, de rues étroites, même en grand nombre il est très difficile aux forces de l'ordre d'en avoir complètement le contrôle. Et ce qui devait arriver arriva : la manifestation, sa partie agressive, métastasa dans sa proche périphérie entraînant son lot de vitrines brisées, de poubelles (nombreuses en cette saison) brûlées. Je décidais de rejoindre l'Opéra par un itinéraire bis de ma connaissance que je trouvais moins risqué pour mes abattis. Ce fut en pure perte : tous les accès que j'avais envisagés étaient bloqués. A contre-cœur je rejoignis le boulevard par la rue du faubourg-Montmartre. Là je tombai sur M. Ivan Rioufol en personne, venu m'a-t-il dit en voisin vu qu'il crèche à un jet de pavé. Nous avons devisé de tout et de rien, de son émission, de la manifestation du jour, avec devant nous le Grand Rex. Je me suis autorisé à lui dire qu'il faisait des question trop longues, qu'à mon avis il y gagnerait en clarté à synthétiser un peu ses prises de paroles. Bon prince il en a convenu, m'expliquant qu'il s'agissait sans doute d'une déformation professionnelle vu qu'il vient de la presse écrite et que la télévision est un format somme toute assez nouveau pour lui. Nous en étions là quand une charge soudaine de CRS nous fit comprendre que ce n'était pas vraiment l'endroit idéal pour papoter. Prenant notre courage à deux mains nous battîmes en... retraite. Nous sommes tombés d'accord sur le fait que nous n'avions plus le cuir assez dur pour encaisser des coups de matraque. D'ailleurs il en avait assez vu et décida de rejoindre ses pénates sans davantage mettre ses os en péril. Après m'avoir salué je le vis s'éloigner, droit comme un I dans son imper malgré son âge avancé.

Je marchais encore un peu mais finalement moi aussi j'en avais assez vu. Je décidais de rejoindre le métro Réaumur par un entrelacs de rues jonchées de débris de poubelles fumantes. La manifestation elle-même dégueulait par ces rues : ses participants lassés de ne plus pouvoir avancer baissaient les bras, rangeaient banderoles et slogans, s'évadaient comme moi par la rue Réaumur.

Quelques photos :




 

lundi 20 mars 2023

Schizophrénie française

 Les Français sont comme ça : ils élisent, pour faire barrage n'est-ce pas, quelqu'un dont ils savent qu'il ne leur veut pas que du bien. Puis après, cinq années durant, ils défilent dans les rues pour lui dire combien il le haïssent... 

dimanche 19 mars 2023

Un samedi à Paris sous Macron II

 

 


 

Mais, amis lecteurs, ne perdez jamais de vue que c'était lui ou le chaos.... 

Photos cliquables : 












samedi 18 mars 2023

Pour ou contre ?

 

La démocratie selon Hidalgo...

Pour ou contre le nouveau plan de circulation ? Vous n'y pensez pas...

Pour ou contre le nouveau mobilier urbain à chier ? Vous n'y pensez pas...

Pour ou contre les salles de shoot près de chez vous ? Vous n'y pensez pas...

En revanche :



Le premier avril on aurait cru à une blague... 

mercredi 15 mars 2023

Le pigot



Si c'est au jeu des ricochets que Brassens était "de première force", moi c'était au lance-pierres, que nous appelions "pigot" dans notre région.

J'en maîtrisais à la perfection la fabrication et le tir. Le tir c'est une affaire de géométrie, de perpendicularité, d'équerrage, de point fictif de visée. La conjugaison de ces trois paramètres n'est pas aussi aisée qu'il n'y paraît. Pour la fabrication je choisissais tantôt une fourche de noisetier, tantôt une fourche d'orme (aujourd'hui disparus). C'est dans ce bois très dur que je fis mon dernier pigot. En montant sur la roche qui est derrière notre maison, je l'avais repéré dans la futaie ce "V" parfait, ni trop écarté ni trop rapproché, au diamètre des branches régulier. Muni d'une petite scie je l'avais découpé grossièrement puis, redescendu, j'avais évalué les proportions, ramené la fourche aux dimensions idéales du pigot. Ensuite, avec mon Opinel, j'avais creusé les entailles dans lesquelles j'irai plus tard fixer, avec de la ficelle de boucher, les extrémités du lanceur, une bande de caoutchouc prélevée dans une vieille chambre à air de vélo. 

Le résultat fut magnifique, proche d'une œuvre d'art.   

Très vite je l'essayais, sur des boites de conserves, des canettes vides dont je repoussais, après chaque nouvel impact, l'éloignement de quelques mètres. Il était d'une précision redoutable, faisait ma fierté d'enfant.

En une belle fin de journée d'été, j'étais dans le jardin, parcourant une BD. Délaissant ma lecture, je levais les yeux vers les hirondelles qui piaillaient, se regroupant sur les fils électriques (aujourd'hui enterrés) qui passaient devant notre maison, longeant le muret qui borde la route. Elles étaient encore nombreuses à cette époque, nichant dans les granges, les hangars ouverts à tous les vents. Elles venaient de passer la journée à arpenter les cieux, se racontaient des histoires d'hirondelles avant la nuit, faisaient comme les notes de musique d'une partition sur les câbles. Je me suis levé. Je suis allé chercher le pigot. J'ai tiré sans trop y croire. Elle était si petite... Mais j'ai vu une note de musique décrocher, tomber et disparaître derrière le muret. J'ai passé la porte qui donne sur la rue. Là, aux pieds de liserons sauvages, je l'ai vue. Je l'ai prise dans ma main. Elle était encore chaude, sa tête toute désarticulée, l’œil fermé.

Je suis resté un long moment, incrédule, triste, désemparé.

A partir de ce jour je n'ai plus jamais fabriqué ni tiré au pigot.





samedi 11 mars 2023

La soupe au chocolat

Elle arrivait le plus souvent, et le plus logiquement, vers la fin du mois. Pour ma mère c'était un crève-cœur, pour nous c'était jour de fête, ça nous changeait de la soupe au potiron. Pour elle cela voulait dire que le frigo faisait du froid sur du vide, quand on ne l'avait pas  déjà éteint. Nous étions trop jeunes pour comprendre la signification de la soupe au chocolat. Peut-être mon frère aîné la comprenait-il, lui qui était le seul à ne pas s'en réjouir, à ne pas partager notre joie.

La recette était simple : ma mère versait dans une casserole un reste de lait qu'elle allongeait d'eau. Puis elle récupérait dans la panière tous les vieux croûtons délaissés, si durs qu'elle avait parfois du mal à les briser, les jetait dans la casserole. Elle saupoudrait le tout d'un peu de cacao, et c'était le festin.

Mes parents appartenaient à cette génération pour laquelle terminer dans le rouge, devoir des sous à la banque, aurait été l'humiliation suprême. À la banque ils leur devaient l'emprunt pour la maison. C'était beaucoup mais c'était tout. Pour le reste il fallait faire avec ce que l'on avait.

L'autre jour ma belle et moi avons fait un déjeuner de roi :

Crevettes sauvages d'Alaska, avocats d'Israël et son filet d'huile d'olives, première pression à froid, de Tunisie, salade rougette, œufs pochés au vinaigre balsamique, picodons d'Ardèche, ananas Victoria de la Réunion.

Ça méritait bien un rot de conclusion, que je me suis permis discrètement... 

Le soir venu je me suis dit qu'après un tel repas je pouvais faire l'impasse sur le dîner.

Je regardais Darius qui, comme il le fait invariablement depuis un an, nous expliquait encore et encore combien la guerre de Poutine est un contresens historique, combien son armée est naze, archi naze. Ne venait-elle pas encore de perdre pas moins de 130 chars, dans la répétition d'une erreur déjà commise aux premiers jours de la guerre ? Une telle désinvolture avait de quoi surprendre, laisser pantois...

C'est à ce moment là que mon estomac s'est de nouveau manifesté : j'avais faim, une faim dévorante. 

Le frigo faisait du froid sur du vide. Un frigo Potemkine en quelque sorte. Ne restait plus que quelques feuilles de salade, une tablette de beurre entamée. Sur la table, un quignon de pain, une banane oubliée qui n'en finissait pas de noircir. J'ai ouvert le quignon de pain, étalé un peu de beurre, écrasé la banane, trouvé un peu de sucre de canne et saupoudrer le tout...

C'était bon comme une soupe au chocolat. 

mardi 7 mars 2023

Choses vues et entendues ce mardi 7 mars

 


J'ai déjà assez souvent décrit sur ce blog, les manifestations auxquelles il m'a été donné de participer pour ne pas trop m'éterniser sur celle-ci. Elle ne différait pas des précédentes, tout comme de celles à venir on peut supposer. La seule différence c'est qu'il y avait aujourd'hui deux cortèges : l'un qui regagnait la place d'Italie par le Bd de l'Hôpital, et l'autre qui l'y rejoignait par le Bd de Port-Royal et l'avenue des Gobelins. C'est dans ce dernier que les éléments perturbateurs avaient choisi de s'introduire.

A l'angle du Bd Arago et de celui du Port-Royal, quelques mamies s'étaient mises en retrait, derrière les cordons de CRS, assises sur les bancs d'un arrêt de bus. Elles étaient venues là comme on va au spectacle, au théâtre. C'est tellement vrai qu'en entendant l'explosion d'un gros pétard, l'une d'elles s'est exclamée joyeuse "ça commence !". 

L'autre chose qui m'amuse dans ce genre d'évènement, c'est la présence de la gent féminine parmi les forces de l'ordre. Chaque fois j'essaie de les débusquer, camouflées dans leurs uniformes. Elles sont trahies par des hanches attrayantes, un je ne sais quoi de différent dans le peu que l'on voit de leur regard, une stature plus frêle, une façon de se mouvoir aussi qui reste bien à elles (bien genrée...) quand il s'agit d'aller au contact. Le goût de ces femmes pour la castagne, ce choix qu'elles ont fait de ce métier on ne peut plus rugueux, m'a toujours étonné, voire troublé. Ça donne quoi au lit ce genre de spécimens ? Retrouvent-elles leur éternel féminin après avoir joué de la matraque, ôté le casque ?

Il y avait encore un reliquat de "Gilets Jaunes" avec, comme on peut le voir sur la petite vidéo qui suit, un drapeau incongru mais systématiquement présent désormais :

 

Le coureur de Marathon

 

C'est lui que l'on appelle le coureur de Marathon, il a le jarret solide et le mollet très bon, il porte la nouvelle par les villes et les vallons. C'est le plus rapide de tout le bataillon. Il est sur un petit nuage, il connaît le parcours par cœur : dans cinq kilomètres ce sera la délivrance, il sera le vainqueur. Il en oublie ses crampes et ses douleurs, son palpitant qui dit "stop". 

Il vient de tourner à l'angle de la cinquième avenue quand il aperçoit un panneau lumineux qui annonce "Arrivée dans 15 kilomètres". Il croit à une erreur, un bug, force son effort dans la dernière ligne droite, franchit la ligne d'arrivée en pleurs, les bras au ciel, et s’écroule. Alors qu'il reprend son souffle, il voit venir à lui un blondinet freluquet qui lui dit :

- non, non ! Vous n'êtes pas arrivé ! C'est dix kilomètres plus loin !

samedi 4 mars 2023

Commissions d'enquête

 

 « On a perdu en 15 ans : Arcelor, Pechiney, Alstom, Technip, Lafarge, Alcatel, Essilor. »

Le tarif de la trahison de la France ? « Entre 10 et 15 millions d'€ » @Montebourg auditionné par la commission d'enquête #souveraineté de l'Assemblée nationale :pic.twitter.com/AGSC4vnkMS

 

 C'est bien. C'est même très, très, bien ces commissions d'enquête, comme celle qui se déroule actuellement sur notre désastre en matière d'indépendance énergétique. Même si cela reste du Grand-Guignol, du théâtre de boulevards, sans conséquence pour les principaux intéressés, elles mettent en lumière l'incurie, l'inconséquence de ceux qui nous dirigent, qui prennent sans jamais avoir à en rendre comptes, des décisions en notre nom. Des plus catastrophiques.

Le gros Hollande, la perruche royale, la dinde Duflot, la chouette Hulot, auront à s'expliquer devant cette commission. Espèces nuisibles protégées, elles n'ont rien à en redouter : leurs monologues bégayants, leurs explications foireuses, leurs trous de mémoire, leurs approximations, seront dûment consignés, juste pour dire. Puis l'on passera à autre chose.

Une commission sur les effets délétères de notre politique migratoire serait également la bienvenue. Même si ses conclusions seraient tout aussi inopérantes, ça donnerait à voir...

Pourtant, pour de telles trahisons, sous d'autres cieux, beaucoup auraient eu à connaître de la corde ou du parapluie bulgare... Mais nous sommes en France.

Ainsi va ce pauvre pays où les intérêts personnels, les échéances électorales, les combines politiques, priment sur l'intérêt collectif, où le bien commun peut être sacrifié sans vergogne, où l'expression "faire amende honorable" restera éternellement de l'hébreu.

vendredi 3 mars 2023

Fume ! C'est d'la taxe

 


 

Je ne sais pas si la taxe est moins cancérigène que le tabac, mais faut bien reconnaître que pour nous autres, accros à l'herbe à Nicot, c'est bien ce que nous fumons de plus en plus. 

Babeth a justifié la récente augmentation en expliquant qu'il n'y avait pas de raison que le tabac échappe à l'inflation. Argument imparable, c'est vrai que de l'inflation on en a jamais assez...

La Première ministre Elisabeth Borne a affirmé, ce lundi sur BFMTV, que le prix du paquet de cigarettes allait augmenter, "comme l'inflation". Le gouvernement va indexer le prix du paquet sur l'inflation. Il était stable depuis deux ans.

SOURCE 

Tiens ça me fait penser qu'il faut que j'aille faire le plein de taxes 95E10, avant la fermeture des raffineries...

Mais moi je lui dis à Babeth qu'il n'y a pas de raison que ma retraite échappe à l'inflation. Maintenant, tout de suite !

On se dépêche SVP !

Pour les ceusses qui l'ignoreraient, l'origine de l'expression "fume c'est du Belge" :

Le Vieux Bohan est un tabac d'origine belge cultivé dans la vallée de la Semois. De bonne qualité, il fit l'objet de contrebande vers la France où le tabac était lourdement taxé au XIX e siècle. De là vient l'expression « Fume, c'est du Belge ».

SOURCE



mercredi 1 mars 2023

Bruits de bottes





La guerre se rapprocherait. Mais la France, forte de ses 68 millions d'habitants, aurait tort de s'inquiéter : son armée de réserve est assez conséquente. Aux ouvriers clandestins de chez Bouygues, il suffira de substituer un casque pour un autre ; les livreurs Hubert eats sont déjà entraînés au barda.

De mon point de vue nous n'avons rien à craindre. 

4500

 


 

 

4500. C'est le nombre de caméras de surveillance qu'il y a à Paris. Elles sont là pour, soit-disant, assurer notre sécurité. Mais, plus prosaïquement, elles sont là pour remplir les caisses de la municipalité*, surveiller et sanctionner le moindre écart, la plus petite faute d'inattention des automobilistes, qui se retrouvent un peu dans la situation d'un insecte pris dans une toile d'araignée. En tout cas c'est l'image qui lui venait à l'esprit quand il prenait son antique voiture pour aller faire une livraison chez les bobos qui, eux, avaient depuis longtemps délaissé ce mode de transport. Ces bobos il les vomissait : toujours ils le remerciaient d'abondants "merci", de sourires hypocrites, mais n'avaient jamais un fifrelin en poche pour le pourliche. 4500... Ce chiffre, à lui seul faisait monter sa tension, son stress. Mais les bobos lui donnaient des envies de meurtre...

Parfois il partait loin en banlieue, chercher une commode vintage dans une galerie, une salle des ventes. Il avait alors pour seule compagnie les musiques de FIP, et la voix de Vanessa, son navigateur. De longs trajets durant lesquels il méditait sur son sort. Il était vraiment tombé bien bas... Lui qui avait toujours dépensé sans compter un argent qui ne lui avait jamais manqué, en était réduit à faire des livraisons via une célèbre application. Il lui arrivait, à un feu rouge ou dans un embouteillage, de laisser s'échapper d'énigmatiques "bof", qui étaient comme un résumé de ses pensées moroses.

Dans Paris, Vanessa le faisait souvent emprunter les mêmes itinéraires. Ainsi il connaissait par cœur la rue De Miromesnil, étroite et sombre, qui ne voyait jamais le soleil. Elle descendait en pente douce vers la place Beauvau et le Palais de l'Élysée. Il y avait en permanence, à une certaine hauteur, un car de CRS stationné. Là, un ancien président de la république, qui jadis aimait s'exhiber aux bras d'une bimbo, en affirmant qu'entre elle et lui c'était du sérieux, y avait ses bureaux, à deux pas de l'Élysée. L'Élysée le laissait perplexe. Nulle part ailleurs il n'y avait autant de flics au mètre carré, autant de caméras ; on avait rehaussé les murs d'enceinte autour des jardins, des barbelés couraient sur leurs sommets. Même la Santé n'était pas aussi bien protégée, ce qui lui faisait penser que, sans doute, vivait là le premier prisonnier de France...  

Il regagnait la rive gauche par le pont Alexandre 3. Rue de Bourgogne on démontait les guirlandes de Noël des cafés. Elles continuaient un temps de briller sur le trottoir mouillé. Vanessa annonçait qu'il entrait dans une "zone de contrôle". Combien de temps encore pourra-t-il faire ça ? Sa voiture montrait de sérieux signes de faiblesse, sera interdite de circulation intra-muros fin 2023. Mais d'ici là il lui faudra passer le contrôle technique... Non. Ça n'en valait pas la peine. La meilleure solution, le moment venu, sera de s'en débarrasser. Les bobos, sur ce point, avaient raison.

Ce jour là il s'en foutra définitivement des 4500 caméras.

*Comment Anne Hidalgo utilise les caméras de vidéosurveillance pour faire le plein de PV à Paris

SOURCE