Cela n'aurait du sens que si Macron invitait Poutine à l'Élysée et que devant tous les corps constitués, et toutes les télévisions européennes et même mondiales, il lui arrachait cette sacro-sainte Légion d'Honneur en lui administrant, de surcroît, une magistrale gifle pour faire bonne mesure. Là au moins il y aurait du spectacle ! Sinon ce ne sera même pas un sentiment d'événement !
Oui, mais comme on imagine mal Macron arracher la Légion d'Honneur sur le cadavre de Poutine, il faudrait admettre que Poutine regagnerait ses pénates, après le duel, sans nous rendre la Légion d'Honneur ? Après tout pourquoi pas ?
Je trouve, quant à moi, que retirer une décoration à un gugusse sans même, ensuite, l'expédier à l'île du Diable, c'est la jouer petit bras… voire "moignon".
Cela dit, ce pauvre Poutine, ainsi menacé, ne doit plus avoir un poil de sec, et il est raisonnable de penser que, dans cette horrible perspective, il est déjà en train de négocier une paix sans condition, façon Brest-Litovsk, avec les Ukrainiens.
Cela n'aurait du sens que si Macron invitait Poutine à l'Élysée et que devant tous les corps constitués, et toutes les télévisions européennes et même mondiales, il lui arrachait cette sacro-sainte Légion d'Honneur en lui administrant, de surcroît, une magistrale gifle pour faire bonne mesure. Là au moins il y aurait du spectacle ! Sinon ce ne sera même pas un sentiment d'événement !
RépondreSupprimerIl nous surprendra toujours président...
SupprimerIl pourrait aussi le provoquer en duel en lui laissant le choix des armes ?
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Oui, mais comme on imagine mal Macron arracher la Légion d'Honneur sur le cadavre de Poutine, il faudrait admettre que Poutine regagnerait ses pénates, après le duel, sans nous rendre la Légion d'Honneur ? Après tout pourquoi pas ?
SupprimerOui, ce serait plus prudent que Poutine choisisse, si Macron choisit il pourrait prendre la poire à lavement, ce serait malheureux...
SupprimerUn duel au char Leclerc ?
SupprimerJe trouve, quant à moi, que retirer une décoration à un gugusse sans même, ensuite, l'expédier à l'île du Diable, c'est la jouer petit bras… voire "moignon".
RépondreSupprimerCela dit, ce pauvre Poutine, ainsi menacé, ne doit plus avoir un poil de sec, et il est raisonnable de penser que, dans cette horrible perspective, il est déjà en train de négocier une paix sans condition, façon Brest-Litovsk, avec les Ukrainiens.
Et pourtant quel beau roman à la Papillon ça pourrait faire : Poutine à l'Ile du Diable ! Et puis ça vous changerait de vos tunnels à Disparus !
SupprimerC'est sûr qu'il doit en faire des cauchemars... Ne plus partager ce bonheur avec Mimie Mathy y'a de quoi se tirer un plomb...
SupprimerA moins qu'il ne commence à finir par se fâcher...
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