Pourquoi vouloir répartir les clandestins* dans l'ensemble des pays européens ? S'ils sont une chance nous devons TOUS les prendre ! On a pas de pétrole mais on a des migrants !
*Aussi appelés "fardeau"...
Pourquoi vouloir répartir les clandestins* dans l'ensemble des pays européens ? S'ils sont une chance nous devons TOUS les prendre ! On a pas de pétrole mais on a des migrants !
*Aussi appelés "fardeau"...
Corrida portugaise
La seule corrida à laquelle j'ai pu assister un jour, c'était dans les arènes de Nazaré, Portugal, pays où il n'y a pas de mise à mort du taureau. Le spectacle ressemble plus à une valse entre le toréro et l'animal, et vous pouvez y emmener les gosses qui ne risquent pas d'en sortir traumatisés (mais un accident est toujours possible).
Je suis bien évidemment contre l'interdiction de nos corridas telles qu'elles se pratiquent encore dans le sud de la France. Je suis contre l'interdiction par principe, même si je ne mettrai jamais les pieds dans les arènes de Nîmes ou Arles où elles se déroulent du printemps à l'automne. Cette tradition locale (importée) attire encore un public d’aficionados dont je ne suis pas et que je sache personne n'est obligé d'y assister.
Si la corrida est dépassée, si elle n'est plus de son temps, alors elle s'éteindra d'elle-même, quand les spectateurs cesseront de se rendre aux arènes. C'est déjà semble-t-il le cas si j'en crois cet article relevé ce matin :
Holà
Palavas, Fréjus, Vergèze... de plus en plus de villes françaises disent basta aux corridas
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Le débat parlementaire qui doit se tenir ce jeudi sur l’interdiction de la tauromachie s’annonce houleux. Pourtant, des villes taurines dans le sud du pays ont déjà mis un holà aux corridas, sans provoquer de bronca.
Difficile d’ignorer que, ce jeudi, l’Assemblée nationale doit examiner la proposition de loi d’Aymeric Caron (député Révolution écologique pour le vivant) visant à interdire la corrida : depuis des semaines, pro et anti s’écharpent dans les médias à coups d’arguments plus ou moins futés et affûtés. Mais à l’écart de ces passes d’armes, la disparition progressive des corridas s’installe discrètement dans les terres dites de tradition taurine. Comme à Mauguio, une commune héraultaise qui s’étend entre Montpellier et la Méditerranée : les deux dernières éditions de sa «Romeria», fête annuelle dédiée à la culture espagnole, ont fait l’impasse sur la traditionnelle corrida proposée au public depuis 1989. «Nous l’avons remplacée par un spectacle plus familial qui attire un public quatre fois plus nombreux», constate le maire (DVG) Yvon Bourrel, qui estime que les corridas ne correspondaient plus aux attentes de la population.
Alors pourquoi vouloir, par la loi, hâter la mise à mort de la corrida ? La cause animale a bien d'autres combats à mener : élevages concentrationnaires, mise à mort sans étourdissement, ce ne sont pas les sujets qui manquent depuis que le paysan est devenu, bien malgré lui, un industriel.
Rajout de dernière minute : le projet de loi vient d'être retiré.
La coupe du monde de football c'est bien ce truc qui se déroule dans les métavers ?
Ou j'ai rien compris ?
J'ai pas les lunettes...
Ah que n'ai-je choisi le camp du bien, celui qui fait les nuits si douces...
Aujourd'hui je serais invité dans les écoles, à la télévision ; à l'ONU. Je signerais des tribunes enflammées dans les grands quotidiens dans lesquelles je défendrais l'amour inconditionnel du lointain prochain. Les enfants rentrant de leurs cours diraient à leurs parents "j'ai rencontré le chevalier de Maque dans son beau costume blanc : il m'a dit souvenez-vous de ce message révolutionnaire : aimez-vous les uns les autres. Qu'il était beau...".
Au lieu de cela je navigue dans la face cachée de l'humanité, sa partie la plus sombre, un purgatoire qui n'en finit pas. Tel le diable de Bernanos j'avance masqué. Comme Pascal j'aimerais dire "qui fait l'ange fait la bête", mais ce serait déjà trop : on me condamnerait au bûcher.
Alors dans la rue je suis des plus courtois : je souris à des gens que j'aimerais voir partout sauf ici ; je m'extasie devant le métis ; je dis que l'immigration est une chance pour la France.
Dans ce monde faux j'ai appris à être faux.
Et à la nuit tombée je tourne et je tourne dans mon lit, appelant désespérément le sommeil.
Tiens...
Mon misérable blog fait plus d'entrées que ce film à deux millions cinq de budget...
On hurle à l'envi "no border ! No border !"
Et quand une bombinette franchit de quelques mètres une ligne imaginaire, le monde entier retient son souffle...
En revanche la frontière redevient odieuse et détestable quand on veut l'opposer à ceux qui la forcent sans y avoir été invités.
Comprenne qui pourra...
Quel est donc ce pays où l'on a plus de chance de se prendre un coup de couteau au coin de la rue que de gagner au loto ?
C'était le mien, c'était le tien ; c'est la France d'aujourd'hui.
Ma vie professionnelle, plutôt chanceuse, m'a fait découvrir ce genre d'artiste. C'était au commencement des années 2000. Il était entouré de deux musiciens blancs (j'ai oublié les instruments).
Dans les années 1950 Burnside déménage du côté de Chicago, où plusieurs membres de sa famille sont assassinés ; après ces crimes, il retourne dans son État natal. Il évoquera cet épisode tragique dans « R.L.'s Story », sur l'album Wish I Was in Heaven Sitting Down.
Lui-même se rendit coupable d'un assassinat. La légende raconte que, pour sa défense, il aurait affirmé au procureur que si l'homme qu'il venait d'abattre était mort, c'est que Dieu l'avait voulu.
Montez le son, "It's bad you know" :
L'autre jour ma belle et moi étions invités par Tintin et le capitaine Haddock au château de Moulinsart.
Étaient présents tous les personnages qui ont bercé notre jeunesse : Tryphon, les Dupont (d), Tchang, l'insupportable Séraphin Lampion, jusqu'à cette petite peste d'Abdallah. Même les infréquentables Dr Müller, Rastapopoulos ou bien encore le traître Wolff avaient été conviés.
Cela se passait en fait à l'Atelier des Lumières, rue St Maur à Paris. L'intitulé de l'évènement (qui court jusqu'au 20 novembre) est "Tintin, l'aventure immersive". Et ce qualificatif d'immersif n'est en rien galvaudé : on entre vraiment dans les bulles XXL de la bédé que nous lisions enfants au fond du lit les jours de fièvre. Le procédé, que nous commençons à connaître ma belle et moi pour avoir déjà vu Cézanne/Kandinsky ou Monet, consiste à projeter sur des murs géants des images extraites des différentes œuvres qui semblent s'animer sous nos yeux. C'est très populaire et chaque évènement est pris d'assaut. Si l'expérience est assez bluffante, je dois dire qu'en ce qui nous concerne nous pensons avoir fait le tour de "l'astuce" et la magie de "la première fois" s'émousse un peu. Mais pour qui ne l'a jamais faite cette expérience, je pense que ça mérite d'être vu au moins une fois. Préférer peut-être en ce moment Cézanne et Kandinsky à ce Tintin "immersif".
C'est l'évolution normale des choses j'imagine, passé un certain âge, quand la retraite s'éternise. On continue comme avant. On se lève au matin, on se rase, on descend les poubelles... On va promener le chien. Midi approche. Tiens... Si on faisait un billet de blog ? Ou une page de journal ?
On se lève, on va promener le chien, on se rase, on a encore sa dignité, on va à la boîte à lettres relever les factures, on laisse un commentaire sur un blog ami... penser aux poubelles...
On se couche on se lève, on se rase, on lit quelques pages d'un livre déjà maintes fois lues, on va promener le chien. On bâcle un billet histoire de... Mais quelle était donc cette pensée géniale qui me trottait dans la tête hier soir ? Et ce rêve étrange et dérangeant qui pertuba ma nuit ? Comment et pourquoi raconter tout ça, pour qui...
On se lève...
Pourquoi ?
Et puis un jour ON NE BLOGUE PLUS...
Corée du Sud : 153 morts dans une bousculade à Séoul lors des célébrations de Halloween
Le bilan pourrait encore s’alourdir alors que les opérations de secours se poursuivent. Les autorités de Séoul ont fait état de 2 642 personnes portées disparues.