J'aime bien la culture populaire, je la trouve digne d'être défendue. Surtout quand elle vient heurter LES STUPIDITÉS DU MOMENT.
La pédopsychiatre Fanny Cohen-Herlem tient néanmoins à rappeler à BFMTV qu'"a priori, qu'elle soit présente ou pas, tous les enfants ont une mère. Et qu'il soit présent ou pas, tous les enfants ont un père." Puis d'assurer : "Même dans un couple homoparental, il y a une maman de naissance forcément et ça sera aux deux papas d'expliquer aux enfants comment ils sont arrivés chez eux."
C’était un gamin, un gosse de Paris,
Pour famille il n’avait qu’sa mère
Une pauvre fille aux grands yeux rougis,
Par les chagrins et la misère
Elle aimait les fleurs, les roses surtout,
Et le cher bambin tous les dimanches
Lui apportait de belles roses blanches,
Au lieu d’acheter des joujoux
La câlinant bien tendrement,
Il disait en les lui donnant :
"C’est aujourd’hui dimanche, tiens ma jolie maman
Voici des roses blanches, toi qui les aimes tant
Va quand je serai grand, j’achèterai au marchand
Toutes ses roses blanches, pour toi jolie maman"
Au printemps dernier, le destin brutal,
Vint frapper la blonde ouvrière
Elle tomba malade et pour l’hôpital,
Le gamin vit partir sa mère
Un matin d’avril parmi les promeneurs
N’ayant plus un sous dans sa poche
Sur un marché tout tremblant le pauvre mioche,
Furtivement vola des fleurs
La marchande l’ayant surpris,
En baissant la tête, il lui dit :
"C’est aujourd’hui dimanche et j’allais voir maman
J’ai pris ces roses blanches elle les aime tant
Sur son petit lit blanc, là-bas elle m’attend
J’ai pris ces roses blanches, pour ma jolie maman"
La marchande émue, doucement lui dit,
"Emporte-les je te les donne"
Elle l’embrassa et l’enfant partit,
Tout rayonnant qu’on le pardonne
Puis à l’hôpital il vint en courant,
Pour offrir les fleurs à sa mère
Mais en le voyant, une infirmière,
Tout bas lui dit "Tu n’as plus de maman"
Et le gamin s’agenouillant dit,
Devant le petit lit blanc :
"C’est aujourd’hui dimanche, tiens ma jolie maman
Voici des roses blanches, toi qui les aimais tant
Et quand tu t’en iras, au grand jardin là-bas
Toutes ces roses blanches, tu les emporteras".
Pour famille il n’avait qu’sa mère
Une pauvre fille aux grands yeux rougis,
Par les chagrins et la misère
Elle aimait les fleurs, les roses surtout,
Et le cher bambin tous les dimanches
Lui apportait de belles roses blanches,
Au lieu d’acheter des joujoux
La câlinant bien tendrement,
Il disait en les lui donnant :
"C’est aujourd’hui dimanche, tiens ma jolie maman
Voici des roses blanches, toi qui les aimes tant
Va quand je serai grand, j’achèterai au marchand
Toutes ses roses blanches, pour toi jolie maman"
Au printemps dernier, le destin brutal,
Vint frapper la blonde ouvrière
Elle tomba malade et pour l’hôpital,
Le gamin vit partir sa mère
Un matin d’avril parmi les promeneurs
N’ayant plus un sous dans sa poche
Sur un marché tout tremblant le pauvre mioche,
Furtivement vola des fleurs
La marchande l’ayant surpris,
En baissant la tête, il lui dit :
"C’est aujourd’hui dimanche et j’allais voir maman
J’ai pris ces roses blanches elle les aime tant
Sur son petit lit blanc, là-bas elle m’attend
J’ai pris ces roses blanches, pour ma jolie maman"
La marchande émue, doucement lui dit,
"Emporte-les je te les donne"
Elle l’embrassa et l’enfant partit,
Tout rayonnant qu’on le pardonne
Puis à l’hôpital il vint en courant,
Pour offrir les fleurs à sa mère
Mais en le voyant, une infirmière,
Tout bas lui dit "Tu n’as plus de maman"
Et le gamin s’agenouillant dit,
Devant le petit lit blanc :
"C’est aujourd’hui dimanche, tiens ma jolie maman
Voici des roses blanches, toi qui les aimais tant
Et quand tu t’en iras, au grand jardin là-bas
Toutes ces roses blanches, tu les emporteras".
Les couples homoparentaux peuvent, eux aussi, aimer les roses blanches. Avec deux ou trois modifs cette bonne vieille chanson pourrait convenir aussi en pareil cas. Il faut vivre avec son temps, que diable!
RépondreSupprimerNon !
SupprimerHier, on achetait des roses blanches pour dire "Je t'aime..."
RépondreSupprimerAujourd'hui, on achète des roses blanches pour dire "Vous n'aurez pas ma haine..."
Vous voyez une grosse différence, vous ?
Détournement, dévoiement inadmissible de la rose blanche !
SupprimerHier c'était donc ma fête, et j'ai failli ne pas m'en apercevoir quand, allez savoir pourquoi, j'ai eu l'idée saugrenue de vouloir brancher mon fer à repasser ? Et là, d'un coup, toute l'électricité de l'appartement a sauté !
RépondreSupprimerJe n'avais plus, ni lumière, ni box, ni télé, ni téléphone, ni internet, ni rien ! La panique a duré trois-quarts heure, le temps que j'essaie de comprendre s'il n'y avait pas moyen de faire quelque chose, peut-être finalement au niveau de l'armoire électrique ? C'était la première fois de ma vie que j'ouvrais cette armoire. Eh bien, il faut croire que Dieu était bel et bien avec moi, et c'est normal puisqu'après tout c'était ma fête ? Quoi qu'il en soit, et comme par miracle, après une ou deux manipulations hasardeuses tout a refonctionné, sauf le fer !
Que d'aventures, que d'aventures ! 😁
SupprimerJe suis vraiment triste pour le fer... 🤭