mardi 28 décembre 2021

Apartheid

 


Apartheid
nom masculin
Régime de ségrégation systématique qui existait, en Afrique du Sud, entre Blancs et Noirs (aboli en 1991).
Synonymes :
ségrégation, exclusion
 
Qui l'eût cru (lustucru), la France, berceau des Droits de l'Homme prétendument, se dirige doucement, mais sûrement, vers un régime d'apartheid. Et ce qu'il y a de plus terrible, c'est qu'il ne se trouvera personne ou presque pour s'y opposer. Six millions de non-vaccinés sont en passe de devenir des sous-citoyens. Sénat et Parlement feront semblant encore une fois de débattre pour la forme. Et ne comptons pas trop sur les ultimes barrières que constituent en principe le Conseil d'État et le conseil constitutionnel : les garants de nos libertés individuelles ont eux aussi abdiqué, leur substituant subrepticement cette notion floue de liberté collective qui n'est pas sans rappeler d'autres régimes. 
Le plus fou, le plus décevant dans cette histoire, c'est qu'une majorité conséquente de Français approuve, en redemande même. Faut croire qu'ils ont oublié le monde d'hier, qu'ils sont mûrs pour les chaînes.
Liberté(s), liberté(s) chérie(s) qu'ils disaient...
Plus que jamais notre devise qui s'affiche aux frontons des mairies, des écoles, se révèle pour ce qu'elle est : un mensonge.
 
Récemment, on entendait une députée de la majorité expliquer de manière très sérieuse que «la liberté était collective et non individuelle», ce qui revient ni plus ni moins à remettre en cause tous les acquis et l'héritage de la Révolution française. Et que dire de ce rapport d'information rédigé par trois sénateurs et publié cet été, dans lequel on pouvait lire cette phrase ahurissante qui dit tout de l'époque que l'on est en train de vivre : « Si une « dictature » sauve des vies pendant qu'une « démocratie » pleure ses morts, la bonne attitude n'est pas de se réfugier dans des positions de principes, mais de s'interroger sur les moyens concrets, à la fois techniques et juridiques, de concilier efficacité et respect de nos valeurs ». Le même rapport indiquait que «les lignes rouges ont beaucoup évolué en un an» : on ne peut qu'acquiescer – et s'en désespérer…  SOURCE


19 commentaires:

  1. Effectivement, difficile à comprendre. L'histoire se répète avec l'incohérence en plus. Tous ces gens qui ne voudraient pas un flocon de maïs OGM dans leur paquet de céréales et qui se transforment en outre à Pfizer, c'est bizarre, pour le moins. Et cette agressivité envers les non vaccinés alors qu'ils sont censés être protégés, encore plus bizarre. L'Homme n'est vraiment pas bon.
    Aurons-nous un jour la réponse à tout ce cirque?

    Le Page.

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    1. Tous ces gens qui ne voudraient pas un flocon de maïs OGM dans leur paquet de céréales et qui se transforment en outre à Pfizer, c'est bizarre, pour le moins.
      C'est vrai que l'on s'éloigne du principe de précaution écologiste...

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    2. @realist :
      Ça me rappelle une scène finale du "Nom de la rose"...

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  2. Si vous pouviez rappeler brièvement cette scène...
    Orage

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    1. Adso poursuit Gui, qui lui échappe, mais des paysans font basculer son char du haut de la falaise. Dans la chute, Bernardo Gui finit empalé sur un instrument de torture en contrebas.
      Mais peut-être allez-vous trouver le rapprochement osé...

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  3. Vous avez tout à fait raison de dire que le Conseil d’État a sombré dans cette affaire. En juillet, il avait accepté le passe sanitaire à condition qu'un test négatif permette son obtention. Le CE avait même ajouté que sinon, ce n'était pas une mesure de prévention mais une obligation vaccinale dissimulée et les magistrats avaient dit de plus que ce serait «une atteinte disproportionnée à la liberté d’aller et venir, au droit au respect de la vie privée et familiale».
    Avec un tel rempart, je me disais que ce n'était pas encore tout de suite qu'un infirmier viendrait avec deux pandores me piquouser
    En décembre de la MEME année, les MEMES magistrats approuvent la mesure qu'ils interdisaient.

    Si à celà on ajoute les propos de ce député concernant les libertés individuelles que je n'avais pas relevés, je ne sais vraiment pas où nous allons.

    J'ai un peu de temps libre en janvier. Je compte acheter une provision de couches pour incontinents et les distribuer à la sortie du C.E. aux pauvres magistrats qui se pissent dessus. Celà me semble une mesure de santé publique plus indispensable que toutes celles prises pour combattre le covid et on ne pourra plus dire que les non-vaccinés sont insensibles à la souffrance des autres.

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    1. Il nous reste le Conseil Constitutionnel mais j'avoue ne plus croire à ces garde-fous. Pourtant c'est plus que jamais en ce moment que nous aurions besoin d'eux, qu'ils pourraient démontrer leur utilité.
      Des couches pour tout le monde ! 😃

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    2. Et en attendant que tout le monde ait ses couches, si vous n'avez plus confiance dans nos institutions, vous pouvez encore signer cette pétition à l'invitation du Courrier des stratèges :

      https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/12/29/signez-la-petition-pour-la-demission-des-membres-du-conseil-constitutionnel/

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    3. Arf...
      Je viens déjà de signer celle de Monsieur Rodolphe Bacquet...
      ICI si ça vous tente.

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    4. Je viens de signer la vôtre, alors allez-vous signer la mienne !

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    5. Voilà. Pour être en cohérence avec moi-même, je viens de la signer votre pétition.

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  4. Parce qu'avant vous vous sentiez libre ? Je vous envie !

    Vous semblez être passé de la peur du Covid à la peur du vaccin. L'important est-il d'avoir peur ?

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    1. J'ai surtout une sainte horreur de me sentir forcé d'une façon ou d'une autre. Quand cela se produit je me braque et fais le hérisson.
      Eh puis je veux que ce gouvernement ait le courage de rendre ce vaccin obligatoire, que je sache le cas échéant contre qui me retourner en cas de problème.

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  5. Et si cette dame avait quelques réponses de bon sens sur les questions que vous et quelques autres se posent ici ?

    https://www.youtube.com/watch?v=7sDWIsaa7jg

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    1. La vidéo est un peu longue, je verrai ça plus tard...
      Mais merci quand-même !

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  6. La liberté collective, c'est chouette, c'était un peu l'idée des Bolchéviks
    ça a bien marché pendant soixante-dix ans! Je pense que le goulag pour les
    non vaccinés serait une mesure de saine politique.
    Amitiés/

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    1. La liberté collective, c'est chouette, c'était un peu l'idée des Bolchéviks
      C'est exactement à cela que je pensais.
      Moi qui pensais naïvement que nous vivions une époque de libertés individuelles...
      Amitiés too !
      Et bon réveillon...

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Lâchez-vous ! Mais en gens bien élevés tout de même...